La redistribution de la richesse dans le monde, C’EST MAINTENANT!
La redistribution de la richesse dans le monde, C’EST MAINTENANT! Halte de s’enrichir avec notre sueur! Expropriation du Capital. Contrôle ouvrier dans toutes les usines qui ferment ou licencient! Entreprenons avec notre sueur le changement du monde !
La France, l'Europe ont connu ses plans de rigueurs, en effet les gouvernements de droite comme de gauche ainsi que la classe bourgeoise se sont at
taqué déjà, à nos emplois, nos salaires, nos retraites. Nous devons dire non à l’austérité qu'ils veulent nous imposer. Les travailleurs doit s’orienter dans un mouvement d'ensemble pour empêcher de payer leur crise et de construire une vraie lutte jusqu'à l’abolition total du capitalisme. Ensemble pour la révolution socialiste.
Alors que la France s’enfonce dans la crise, ne nous laissons pas berner avec des belles revendications chauvinistes qui servent à la bourgeoisie « sauvons notre industrie ». Car si sauver l’industrie, c’est avant tout de sauver les intérêts et les profits du patronat, nous n’aurons impression de ne pas avancer vers le changement et la lutte contre le capitalisme.
La sauvegarde de nos industries doit aboutir avec l’expropriation totale de l’outil de production par les travailleurs, afin d’en finir avec l’exploitation du travail.
Les crises conjoncturelles, dans les conditions de la crise sociale de tout le système capitaliste, accablent les masses de privations et de souffrances toujours plus grandes. La croissance du chômage approfondit, à son tour, la crise financière de l'État et sape les systèmes monétaires. La bourgeoisie elle-même ne voit pas d'issue, elle s'est déjà trouvée contrainte de miser son dernier enjeu sur la carte du fascisme. Alors, dés maintenant organisons nous dans les usines les quartiers soyons capable d’instaurer une première étape de l’évolution de la société vers le socialisme, afin d’amener les travailleurs à acquérir le pouvoir.
Ensemble stoppons la gangrène du capitalisme, pour cela, nous devons penser lutte des classes, construire un programme politique avec une perspective de proposition révolutionnaire socialisme, afin de développer l’unification de la masse prolétarienne contre la classe dominante.
Alors que la France s’enfonce dans la crise, ne nous laissons pas berner avec des belles revendications chauvinistes qui servent à la bourgeoisie « sauvons notre industrie ». Car si sauver l’industrie, c’est avant tout de sauver les intérêts et les profits du patronat, nous n’aurons impression de ne pas avancer vers le changement et la lutte contre le capitalisme.
La sauvegarde de nos industries doit aboutir avec l’expropriation totale de l’outil de production par les travailleurs, afin d’en finir avec l’exploitation du travail.
Les crises conjoncturelles, dans les conditions de la crise sociale de tout le système capitaliste, accablent les masses de privations et de souffrances toujours plus grandes. La croissance du chômage approfondit, à son tour, la crise financière de l'État et sape les systèmes monétaires. La bourgeoisie elle-même ne voit pas d'issue, elle s'est déjà trouvée contrainte de miser son dernier enjeu sur la carte du fascisme. Alors, dés maintenant organisons nous dans les usines les quartiers soyons capable d’instaurer une première étape de l’évolution de la société vers le socialisme, afin d’amener les travailleurs à acquérir le pouvoir.
Ensemble stoppons la gangrène du capitalisme, pour cela, nous devons penser lutte des classes, construire un programme politique avec une perspective de proposition révolutionnaire socialisme, afin de développer l’unification de la masse prolétarienne contre la classe dominante.