On ne gagne pas contre les travailleurs. Luttons, afin que Sarko ne promulgue pas la loi sur la réforme des retraites.

Publié le par CGT PHILIPS EGP DREUX

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 La lutte continue

A la télé, les médias collabo, nous accablent de leurs discours, démotivant en laissant croire que la mobilisation faiblit. Au contraire, la conscience ouvrière évolue et s’endurcit. Il faut absolument relayer la véritable info concernant les mobilisations, de sorte à ne pas faire tomber notre détermi...nation à la faveur du matraquage médiatique orchestré depuis hier sur toutes les TV.
Il y a encore beaucoup de blocages en France, de Brest à Strasbourg, de Lille à Marseille. Les travailleurs en France sont entrés depuis dés semaines dans un conflit dur contre la réforme des retraites et la politique de Sarkozy. Et, si aujourd’hui, le ministre Mr Woerth, affirme qu’il n’y a pas de triomphalisme envers le camp qui lutte dans la grève, dans la rue, Woerth et Sarkozy assurent bien un soutien total à l’état bourgeois.
Alors, Oui dégageons, l'état Bourgeois de notre société. Organisons nous, afin de mettre en place une perspective, un programme politique de transition pour la classe ouvrière.
Construisons ensemble une société, marxiste, internationaliste, socialiste. Oui aux Etats ouvriers, soutenons tous les travailleurs en grève dans le pays, toutes les initiatives, il faut mettre la pression au sommet des organisations syndicales et politiques afin d’appeler à la radicalisation de la lutte et soyons unis travailleurs, pour se faire entendre « debout, par mort, la lutte continue » .

La réforme des retraites a été adoptée définitivement ce mercredi par l'Assemblée nationale. Des mouvements de grève doivent se multiplier, ne rien lâcher. LUTTONS, Contre la régression sociale sans précédent. Dans cette guerre de classe que nous impose le gouvernement de Sarkozy, il faut s'organiser, riposter, n'attendons pas 2012 pour en finir avec Nicolas Sarkozy. Mettons en place, dés aujourd'hui, des comités partout ou cela est possible, dans les services publics, dans les entreprises privées, dans les universités, dans les quartiers, dans nos villes afin de construire nos armées de soldats face au capitalisme qui opprime les femmes et les hommes.

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