Le patronat et les syndicats jaunes cherchent à diviser la base.

Publié le par CGT PHILIPS EGP DREUX

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Le patronat n’a pas froid aux yeux. Il cherche à diviser la base en tenant responsable la radicalisation de la lutte de la base du syndicat CGT qui se refuse de négocier.Car selon le patronat une telle attitude ne permettra pas de sauver des sites. Un discours délirant qui cherche à diviser les travailleurs qui prennent conscience de l’intérêt du combat de classe et cela fait peur à la bourgeoisie. Oui, négocier si cela va dans le sens des intérêts des travailleurs. Qui sont les responsables de l’orchestration de la casse industrielle ? Pire, comme ils ont fait à Philips Dreux des syndicats jaunes, reprochent aux leaders locaux de la CGT, Jean-Pierre Mercier chez PSA Aulnay et Mickaël Wamen chez Goodyear Amiens, de mener un combat politique. Il est temps de rappeler, dans un combat de classe il ne faut jamais s’interdire l’idée politique. Comment peut on défendre les droits des travailleurs si on s’interdit les idées qui touchent le monde dans lequel on vit ? Est il nécessaire de rappeler que ceux qui votent les lois sont ceux qui siègent à l’assemblée nationale ceux que vous avez élus en tant que travailleurs citoyens. C’est aussi à l’assemblée nationale que s’organise et se votent les réformes, et notamment celles qui touchent le code du travail. Les argumentaires des plans de restructurations et de fermetures sur des difficultés économique ne sont pas fondé comme veulent nous le faire croire le patronat mais dans la motivation de l’augmentation des profits au détriment de l’avenir de milliers de travailleurs. Le patronat affirment au quotidien que l’actionnaire est roi et exigeant, dans un monde de concurrence exacerbée. Or, la vie nous à démontré que tous ceux qui ont plié à se rompe sous des mesures de plus en plus insupportable n’ont pas été mis à l’abri de fermeture de site ou de perte d’emploi.

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